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  • Epinal - Châtel-sur-Moselle (88) : colloque "Fortifications et artillerie en Europe autour de 1500"

  • Notre patrimoine lorrain : les portes anciennes du pays du Sânon

  • Fête de saint Pierre Fourier, patron des curés vosgiens

    Pierre Fourier en prière, tableau conservé au musée de Mattaincourt [cl. H&PB].

    Deus, qui beáto Petro ardentíssima caritáte tibi conjúncto, ut némini obésset, et ómnibus prodésset, inspiráre dignátus es : concéde propítius ; ut ejúsdem précibus et exémplis, quæ tibi placent, et nobis ac áliis vere prosunt, constánter operémur.

    [Collecte de la messe de Saint Pierre Fourier, diocèse de Saint-Dié, missel de 1962]

    Seigneur Dieu, vous avez inspiré à saint Pierre Fourier, qui vous était uni en une ardente charité, le désir de ne nuire à personne et d’être utile à tous. Accordez-nous par le secours de ses prières et de ses exemples, de faire constamment ce qui vous plaît et ce qui peut être vraiment utile à nous-mêmes et aux autres.

  • Fête de l'Immaculée-Conception

    Eglise Marie-Immaculée, 33 avenue Général Leclerc à Nancy,

    mardi 8 décembre 2014, fête de l’Immaculée-Conception, patronne de l'église,

    messe chantée à 18h30 (rite extraordinaire de l'Eglise catholique) suivie du salut et d’un temps de prière pour la vie

  • Jubilé de la Miséricorde

    Sa Sainteté le pape François souhaite que ce Jubilé de la Miséricorde se déroule à Rome autant que dans les Églises locales.

    Pour la première fois, dans l’histoire des Jubilés, il y a possibilité d’ouvrir une Porte sainte, la Porte de la miséricorde, dans chacun des diocèses, dans la cathédrale ou dans une église de signification particulière, ou un sanctuaire important pour les pèlerins :

    > Pour le diocèse de Nancy & de Toul, l'église Saint-Sébastien à Nancy est retenue comme église jubilaire.

    > Pour le diocèse de Saint-Dié, la basilique Sainte-Jeanne d'Arc à Domremy est retenue comme église jubilaire.

    Tout au long de l'année, et chaque jour, le pèlerin sera accueilli dans cette église et invité à :

    • devenir plus solidaires de ceux qui ont besoin de réconfort
    • et/ou rencontrer un prêtre et recevoir le sacrement du pardon
  • Bleurville (88) : les résultats du 1er tour des régionales 2015

    La France malade de ses politiciens incapables...

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  • Nancy : le Théâtre de la Passion embauche !

  • Le devenir de la Fondation du Patrimoine dans les Vosges

  • Les sapins de Noël "design" de la Saône vosgienne

    En Saône vosgienne, chaque année, une fois décembre venu, c’est le retour de drôles de sapins de Noël minutieusement montés le long d’un axe conique. Des sapins version « design » aujourd’hui commercialisés dans la Plaine des Vosges, mais aussi « à Epinal, à Metz ou à Strasbourg », explique Emilie Roha, ingénieure de l’ENSTIB et nouvellement embauchée par l’association Minos, dont le siège est à Monthureux-sur-Saône. « On va aussi en mettre à Liézey et à La Bresse, pour une entreprise qui construit des chalets. Ceux-là seront éclairés. »

    Dans l’atelier bois, nouvellement créé au sein de l’association, les deux ouvriers ne chôment pas, entre le marché décroché pour la tonnellerie toute proche et la confection des sapins. « On n’est pas dans un rythme industriel mais on en fabrique cinq par jour actuellement », atteste André Granget, vice-président de Minos chargé du développement de la partie bois et ancien maire de Bleurville - lui même ayant fait sa carrière professionnelle dans la scierie familiale du village.

    Le bois, du sapin ou de l’épicéa, vient des scieries vosgiennes de Tignécourt et de Xonrupt-Longemer. Si le brevet a été déposé en 2011, la première commercialisation du sapin Minos date de l’année dernière. La commune de Darney en avait commandé quatorze.

    Depuis, l’association, engagée dans l’économie sociale et solidaire, poursuit son développement. Quelque 40.000 € ont été investis dans l’atelier et, désormais, tous regardent vers l’avenir. « A l’origine, ce sapin est né d’une erreur de compréhension entre Thierry Bertrand, alors adjoint aux fêtes de Monthureux, et les employés municipaux chargés de le concevoir. C’était quelque part la tarte tatin du sapin ! », s’amuse Raynald Magnien, directeur de Minos. « Finalement, tout le monde a trouvé ça chouette et aujourd’hui, on a bien évolué. On veut clairement développer le marketing. »

    Encouragée par l'acquisition d'exemplaires de ce sapin nouveau par les communes du secteur, Minos prévoit l’ouverture d’une boutique en ligne d’ici peu. L’idée est aussi de développer le sapin pour le très vaste marché des particuliers et de la décoration, en lien direct avec d’autres entreprises locales. L’aventure ne fait que commencer.

    [d'après Vosges Matin]

  • La notoriété du cousin de Charles de Foucauld

  • Lignéville (8) : la restauration de la chapelle complétement achevée

    La restauration de la chapelle Saint-Basle de Lignéville est enfin complétement achevée. Rappelons que cette chapelle champêtre conserve des éléments du XIIe siècle. Elle a été en grande partie transformée au XVe siècle puis, de façon marginale, aux XIXe et XXe siècles.

    Les derniers travaux viennent de se clore avec la réfection de la voûte de la travée d'entrée. Les travaux de plâtrerie ont été réalisés par une entreprise locale sur la base des éléments architecturaux subsistants.

    Félicitations à tous les partenaires de cette magnifique restauration !

    [cliché : Gilbert Salvini]

  • Les visages des sculpteurs Charles et Martin Pierson

  • Sur les lieux de la bataille du Grand Couronné

  • La Nouvelle revue lorraine : Saint Nicolas et sa procession à l'honneur dans le numéro de décembre 2015-janvier 2016

    Dans son édito', Jean-Marie Cuny nous livre son sentiment à propos du 250e anniversaire de "l'annexion" des duchés de Lorraine et de Bar par le royaume de France, "anniversaire" que nous commémorerons en 2016.

    Comme d'habitude, ce numéro de La Nouvelle revue lorraine nous offre une belle palette d'articles sur l'histoire de notre Lorraine. Au sommaire :


    - le président Sadi Carnot à Lunéville
    - Amable Tastu, une poétesse méconnue
    - gastronomie lorraine
    - la réhabilitation de la Pucelle de Domremy : le jugement de 1456
    - histoire d'un infanticide à Romelfing en 1729-1730
    - l'église d'Arry
    - les Lorrains à Waterloo
    - François Nicolas Benoît Haxo, un militaire de génie
    - en mémoire de Georges Goulon : le Bancal
    - l'oncle Cyprien
    - grèves dures dans le Pays-Haut au début du XXe siècle
    - la légende du Saint Nicolas
    - procession aux flambeaux

    ... Et les info's lorraines, les livres et notes de lectures... et les nouvelles du Jean-Marie !

     

    > La Nouvelle revue lorraine peut être commandée sur le site www.nouvelle-revue-lorraine.fr

  • Chaumousey (88) : l'église paroissiale restaurée et inaugurée

  • Autigny-la-Tour (88) : une pierre antique découverte dans la cave du château

    Un fragment d’inscription antique inédite vient d’être découvert fortuitement lors de travaux dans la cave du château d’Autigny-la-Tour. Un ex-voto plutôt rare.

    C’est un bloc gravé dans une maçonnerie, pour être intégré dans un monument. « C’est mon cousin, Jean-Jacques Gaffiot, qui est archéologue, qui en a fait la traduction. » Jacques-Charles Gaffiot est historien de l’art. Commissaire d’exposition (on lui en doit une cinquantaine au total, dont deux au château de Versailles), il est également collectionneur : « Ma grand-mère m’a donné le goût de tout cela. C’est un héritage que j’essaie de transmettre », sourit-il depuis le château d’Autigny-la-Tour, dont il est copropriétaire avec ses cousins et neveux, eux, les Gaffiot originaires d’Arc-et-Senans en Franche-Comté, et la famille Milvaux qui a un berceau de famille en Picardie.

    C’est là qu’a été retrouvée cette pierre antique, datée du IIe ou IIIe siècle ap. J.-C. « Elle obstruait un accès à un puits. On l’a retrouvée dans la cave du château et, en la transportant, avons découvert ces inscriptions en lettre capitales, belles lettres classiques sur trois lignes. » Sur la première ligne, on peut y lire « OSM » puis « ANUS » sur la seconde et enfin, « VSLM » sur la troisième ligne.

    Les spécialistes que sont les deux cousins Jean-Jacques et Jacques-Charles Gaffiot ont traduit : Osm pour « Rosmerta », du nom de cette déesse de la religion celtique gauloise dont le culte est parfois associé à Mercure – et qui était vénérée à Soulosse, village tout proche – ; « Anus » pour la fin d’un patronyme extrêmement répandu à l’époque et « VSLM » pour « Votum Soluit Libens Merito ». Autrement écrit : « acquittement du mérite librement d’un vœu exaucé. »

    C’est donc pour rendre hommage à la divinité que cette pierre appartenant à un bloc plus conséquent, vraisemblablement un monument, a été gravée. Il est vraisemblable que le reste de la construction se trouve non loin de là, quelque part, soit dans un musée du département, soit à Soulosse-sous-Saint-Elophe, d’où cette pierre de réemploi au moment de la construction du château, pourrait avoir été extraite. « A moins que la cave du château d’Autigny n’ait été construite sur les ruines d’un temple dédié à Rosmerta ! » et l’abondance qu’elle symbolisait autrefois, imagine sans trop y croire Jacques-Charles Gaffiot. Si tel devait être le cas, il y aurait fort à parier que soient ordonnées des fouilles sur les fondements mêmes de ce monument classé.

    Dans tous les cas, la découverte d’une inscription romaine dans une cave construite au XVIIIe siècle n’est pas si fréquente. Une « petite découverte » qui pourrait trouver toute sa place dans le musée archéologique de Soulosse-sous-Saint-Elophe, installé là, à un jet de pierre d’Autigny-la-Tour.

    Parmi les curiosités sur ces 3 ha classés à l’inventaire des Monuments historiques de ce château qui fut d’abord une dépendance de la maison du châtelet de Harchéchamp : ce vaste parc et surtout ce bassin alimenté par un canal souterrain, dérivation du Vair qui arrose ce village de 180 habitants. Un droit d’eau existe au château depuis sa construction, au XIIe siècle quand il s’agissait de protéger le fruit du travail de ces deux moulins accrochés au Vair. Mais il semble que ce « privilège » se tarisse… « Tout le parc est en train de se dégrader », regrette Jacques-Charles Gaffiot qui montre ce bassin qui, avec celui du château de Lunéville, constitue les deux uniques canopes de ce type en Lorraine. Ancienne propriété du comte de Mauléon-la-Bastide, le château qui allait tomber dans le giron du comte de Gondrecourt-le-Château, fut également aux mains du comte hongrois Kinigl, qui séjourna là du temps du duc Léopold. « L’idée était de reconstituer le canope de la Villa Hadriana », cette villa antique bâtie au IIe siècle par l’empereur Hadrien, sur 120 ha, à une trentaine de kilomètres de Rome. « Il s’agissait de recréer le bassin tel qu’il en existe un autre à Lunéville et l’alimenter grâce au Vair. » L’appel sera-t-il entendu ?

    [Vosges Matin]

  • Vioménil (88) : valorisation des découvertes archéologiques de la source de la Saône

    A la fin de l'hiver 2014-2015, les archéologues de l'association Escles-Archéologie épaulés par les bénévoles du Cercle d'études locales de Contrexéville, ont réalisé des fouilles archéologiques autorisées dans le lit de la Saône naissante, à Vioménil. Plusieurs structures architecturales de belle facture et aux fondations puissantes de l'époque gallo-romaine ont été découvertes (foyer de cuisine, fragment de tête de statue avec un diadème, base d'un long mur intégrant une colonnade, massifs bancs en grès aux pieds moulurés, fragment de colonne...).

    Désormais, les résultats du sondage sont rebouchés.

    En collaboration avec la municipalité et les propriétaires des terrains concernés, Escles-Archéologie a finalisé la restitution des découvertes au public dans une perspective touristique en mettant en scène les bancs, un dé de grès et un fragment de colonne prélevés dans les fouilles.

    Un panneau explicatif apporte au visiteur les informations nécessaires à la compréhension de ces découvertes.

    Cette évocation est installée à 30 mètres du site archéologique, dans le lavoir du village.

    Accès libre toute l'année.