conseil
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Bleurville : les dernières décisions du conseil municipal
[Vosges Matin | 15.05.09] -
Centenaire de la béatification de Jeanne d'Arc à Domremy (Vosges)
[documentation : Conseil Général des Vosges]
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Bleurville : les dernières décisions du conseil municipal
Location de terrains. - Pour les locataires des terrains propriété de la commune situés sur la zone touristique, désirant reconduire les conventions, le conseil municipal, à l'unanimité, décide de louer à l'amiable, sous forme de convention d'occupation provisoire précaire ces terrains pour la période du 1er janvier au 31 décembre 2009, à Ludovic Bisval, Octave Breton, EARL du Paro, la Ferme aux Bisons pour une location annuelle de 54,01 € l'hectare, augmenté de l'indice de variation, à Christian Fatet pour la location de l'étang pour 200 € à compter de 2010.
Zone artisanale : location à l'amiable à Ludovic Bisval sous la même forme des terrains sis sur la zone artisanale, du 1er janvier au 31 décembre 2009, lieu-dit « Aux Gorges ».
Zone constructible : en vue de vendre des parcelles de terrain à bâtir, la commune a acquis des terrains qui doivent être libres de toute location à tout moment, le conseil décide de louer de même aux agriculteurs, aux lieux-dits "le Village" et "les Vignes de Paro" à EARL du Paro, au lieu-dit « Chenon-Pré » à GAEC de la rue Haute.
Modifications de tarifs. - A compter du 1er janvier la photocopie passe à 0,30 €, gratuité pour les associations qui fournissent le papier. Par 9 voix pour et 1 voix contre, l'abonnement annuel à la bibliothèque passe à 3,50 €. Par 6 voix pour et 4 voix contre le prix de l'eau passe à 0,95 € le m3, plus la taxe de la redevance pour la pollution et la location annuelle.
Chaufferie au bois déchiqueté. - Lors de la dernière réunion, Melle Ducros a fait le compte rendu de la pré-étude pour la chaufferie au bois déchiqueté sur la commune. Les installations seraient économiquement viables à court terme, les chiffres communiqués devront être confirmés par un bureau d'études spécialisé.
Création de poste. - La création d'une agence postale communale conduit à la création à temps incomplet d'un emploi permanent d'adjoint administratif 2e classe, pourvu par voie contractuelle à compter du 5 janvier 2009.
Participation scolaire. - La participation scolaire d'un enfant scolarisé en classe de perfectionnement à Darney pour la somme de 358,86 € sera réglée mais pas les frais d'interclasse (fréquentation de la cantine).
Jugement. - Après présentation du jugement du tribunal de grande Instance d'Épinal rendu le 13 novembre 2008 dans l'affaire opposant la commune à Ch. G. concernant le sinistre d'un mur de soutènement rue Bezout le 6 juin 2005, quatre membres du conseil demandent un vote à bulletin secret sur l'appel. Par 10 voix et 1 abstention, le conseil décide de ne pas interjeter appel du jugement.
[d’après Vosges Matin | 09/01/2009]
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les Vosgiens jugent les Vosges
Cinq mille Vosgiens et Vosgiennes ont jugé leur département. Synthèse.
Le Conseil général publie le résultat des 29 réunions cantonales programmées dans le cadre de l'opération Vosges Horizon 2020. Plus de 5.000 Vosgiens et Vosgiennes se sont exprimés.
Au vu des données recueillies, « l'avenir des Vosges est une préoccupation partagée par de nombreux Vosgiens et Vosgiennes, que le Conseil général est une collectivité qui a du sens pour les habitants et les forces vives, mais surtout une véritable légitimité ».
Premier constat : on vit plutôt bien et même très bien dans les Vosges, selon 53 % des sondés, même si la qualité de vie se dégrade ou stagne dans 65 % des avis.
Le département est jugé « vieillissant » par plus d'un tiers des personnes interrogées, « déclinant et isolé » par un autre tiers des votants. Côté positif, la moitié des habitants qualifie le territoire « d'authentique et de beau », de convivial aussi.
La richesse des paysages est l'atout géographique majeur des Vosges, cela est relevé dans la consultation, qui met également en avant le capital de la forêt et du bois, la nécessité de professionnaliser le tourisme et de faire des PME des enjeux prioritaires des cantons.
Une faiblesse relevée sur le plan humain : l'exode des jeunes et le vieillissement de la population, le département souffrant par ailleurs d'une inadéquation des formations des jeunes au marché de l'emploi et d'un manque d'attractivité. Le chantier prioritaire pour demain ? La jeunesse et l'éducation.
Pour 62 % des réponses, le bois, la forêt et l'artisanat sont les secteurs d'activités les plus dynamiques et pour 61 % des répondants, l'industrie ne continuera pas à être l'activité essentielle !
Dans le domaine de l'environnement, les déchets ménagers représentent « une réelle inquiétude », alors que les Vosgiens et Vosgiennes sont majoritairement interpellés par la pauvreté et la violence.
Ils manifestent, à 59 %, une inquiétude quant à l'avenir des Vosges, 37 % se montrant optimistes.
Le Conseil général note « une certaine morosité des forces vives quant à l'avenir des Vosges, et cela malgré nos atouts », et retient également « l'immense manque d'information. Les Vosgiens ne connaissent pas bien leur Conseil général. » Une incitation à poursuivre « la démocratie participative » ?
[d’après l’Est Républicain | 15.11.08]
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Comment réhabiliter sa maison dans les Vosges ?
Le département des Vosges possède un patrimoine bâti particulièrement riche et varié qui contribue à l'identité et à l'attractivité de son cadre de vie et de ses paysages. Ce patrimoine pourtant est fragile : l'action du temps, un défaut d'entretien, un budget trop serré ou une intervention inadaptée peuvent compromettre son avenir.
le CAUE des Vosges et le Conseil général du département se sont associés pour mettre à la disposition de tous ceux qui souhaitent engager des travaux de réhabilitation sur une bâtisse traditionnelle, une brochure explicative. Ce n'est certes pas une encyclopédie technique ni un "livre de recettes", mais cette brochure pourra servir de guide dans la réflexion et dans les démarches en vue de réhabiliter une maison typique.
Avant d'engager des travaux sur une telle maison, il faut se poser plusieurs questions : qu'est ce qui fait le cachet de ma maison ancienne ? Comment s'intègre-t-elle dans le paysage, dans le village, dans la rue ? Comment puis-je l'adapter au mode de vie d'aujourd'hui tout en préservant et en valorisant ses caractères architecturaux à moindre coût ? Qui peut m'accompagner dans mon projet ?
Brochure "Réhabiliter sa maison dans les Vosges" disponible en mairie ou auprès de la Direction départementale de l'Equipement et le CAUE des Vosges
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Conseil d'administration de Saône Lorraine le 31 octobre à Châtillon-sur-Saône
Le conseil d'administration de l'association Saône Lorraine se réunira sous la présidence de Jean-François Michel vendredi 31 octobre 2008 à 14 h 00 au Grenier à sel de Châtillon-sur-Saône.
A l'ordre du jour le point sur les résultats 2008 et les perspectives 2009.
Devant le Grenier à sel de Châtillon-sur-Saône (Vosges) -
A Robécourt on ne baisse pas la garde
L'association ACCID est optimiste depuis l'avis défavorable émis par la commission du Conseil général sur le projet de décharge à Robécourt (Vosges). Mais la vigilante demeure.
« Avec l'avis défavorable qui a été délivré le 18 septembre par la commission consultative du Conseil général, nous avons gagné une bataille. Mais nous ne devons pas nous leurrer, la société Villers Service ira jusqu'au bout de son projet d'implanter un centre d'enfouissement sur notre commune. Dès lors, nous devons nous préparer à l'enquête publique qui sera diligentée par le préfet des Vosges », explique Eric Valtot, président d'Action citoyenne contre l'implantation d'une décharge (Accid).
Une réunion d'information s'est tenue dernièrement à Robécourt pour apporter des informations précises sur les arguments avancés devant la commission consultative. « Nous avons argumenté sur trois points. Tout d'abord, sur l'étude du bureau des recherches géologiques et minières, qui écartait Robécourt. Puis nous avons souligné que l'excentration du site doublerait le coût des transports. Enfin, il y a le risque, même minime, de polluer les nappes phréatiques du secteur thermal de Vittel et Contrexéville. »
L'expertise hydrogéologique commandée par le préfet pourrait aussi jouer un rôle prépondérant dans la décision finale. Là, ce serait au tour du groupe Nestlé Waters Vosges d'entrer dans la partie, comme il l'avait fait pour le site de Pierraumont, à Escles. Consulté à ce sujet, le député et conseiller général Jean-Jacques Gaultier n'a pas caché qu'il monterait au créneau, comme il l'avait fait pour Escles.
« Alors que nous travaillons sur le dossier du Pôle mondial de l'eau dans le secteur thermal de Vittel et Contrexéville, il est inconcevable de voir s'implanter un site d'enfouissement de déchets ultimes alors qu'il y a un risque de pollution des nappes », répète l'élu. « D'autre part, comme l'a souligné la commission consultative du Conseil général, le choix d'une décharge à l'extrémité de l'Ouest vosgien n'est pas judicieux, en raison du coût des transports. Je suis conseiller général donc solidaire avec l'avis défavorable de la commission présidée par Alain Roussel. » Un soutien de poids que les membres d'Accid ne manqueront pas d'apprécier.
[d’après L'Est Républicain | 12.10.2008]
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Château de Lunéville : la fidélité des donateurs ne faiblit pas
4.000 donateurs, une souscription dépassant les 1.100.000 €. La mobilisation ne faiblit pas, mais devra prendre d'autres formes à Lunéville, où le chantier de reconstruction du château est véritablement entré dans sa partie visible.
Les donateurs invités récemment des cinquièmes rencontres ont pu s'en rendre compte en visitant la chapelle, s'extasiant à la vue de la charpente, qu'il faut se dépêcher d'admirer dans la nudité de son bois avant qu'elle ne soit recouverte.
Le Conseil général de Meurthe-et-Moselle s'est particulièrement attaché au devenir de ce lieu emblématique. Le choix a été fait d'y investir la totalité des indemnités versées par les assurances pour en accélérer la restauration.
Toitures et façades seront ainsi livrées mi-novembre, en même temps que celles de la partie militaire, située à l'opposé de l'aile sinistrée (coût global : 2.400.000 €). Fin 2010, la chapelle aura complètement terminé sa mue et pourra de nouveau accueillir du public.
Pour que l'on puisse continuer à en admirer la beauté architecturale, le Conseil général souhaite que s'engage une réflexion afin de ne pas la transformer en une vulgaire « salle polyvalente ». La chapelle, qui servait de cadre, quelques années encore avant l'incendie, à de prestigieux concerts, conservera cette vocation artistique, « mais son histoire et la majesté des lieux » en feront davantage encore la « tête de pont d'événements prestigieux », à l'image d'un grand festival de musique, pourquoi pas en partenariat avec Froville, a avancé le chef de l'exécutif meurthe-et-mosellan.
La restitution de la chapelle marquera un tournant décisif du chantier de reconstruction. D'autant que la salle des gardes, la salle de la Livrée et l'escalier d'honneur de l'aile sud seront rendus au public dans le même temps. Coût de cette tranche : 3.500.000 €. Il faudra ajouter un million d'euros pour la restauration de la salle des Trophées, les travaux se poursuivant par le corps central et l'escalier nord.
Propriétaire d'une partie du château, l'armée avait délégué le général Wattrelos, directeur régional du génie, pour un point sur les travaux concernant la partie militaire de l'édifice. Onze entreprises y travaillent, qui ont notamment reconstitué une charpente lourde de quarante tonnes de bois d'essences diverses, et remis en valeur la terrasse s'ouvrant sur les jardins. Ces travaux se poursuivront plusieurs années encore. « L'armée ira au bout des engagements pris», a assuré le général Wattrelos, tandis que s'engageait un débat sur une nécessaire évolution de la mobilisation.
« Il faut imaginer d'autres voies », estimait Dominique Massoneau, délégué régional de la Fondation du patrimoine, Patrick Simonin, président du club des partenaires, reconnaissant que le contexte actuel rend difficiles des efforts financiers des entreprises, « qui continuent néanmoins à donner de leur temps et à apporter leur savoir-faire. ». Mais à plus long terme, le clos et le couvert terminés, il faudra surtout réfléchir à un mécénat se prolongeant dans la durée. C'est le chantier, qui s'ouvre à l'association « Lunéville, château des lumières », née quelques semaines après l'incendie du 2 janvier 2003. Confrontée à un exercice 2007 déficitaire, elle doit elle aussi évoluer dans son fonctionnement.
[d’après L'Est Républicain | 12.10.2008]
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Le nouveau conseil municipal de Bleurville après le 2ème tour des municipales du 16 mars 2008
Elu(e)s au 1er tour
Voix
M. Emmanuel BISVAL
149 M. André GRANGET 149 M. Xavier SALEK 141 Mme Nathalie ROLLIN 135 M. Denis BISVAL 128 Mme Caroline SIMON 126 Mme Colette BISVAL 126
Elu(e)s au 2ème tour Voix
M. Patrick BLANLUET 151 Mme Myriam DIDIER 144 M. Jérome DURAND 140 M. Michel LEGROS 137