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stanislas - Page 2

  • Une messe pour Stanislas

    Proposée par l'association des Amis de Lunéville et le père Jacques Bombardier, une messe a été célébrée pour le repos de l'âme de Stanislas le Bienfaisant.

     

    messe stanislas.jpgStanislas Leszczynski, est décédé le 23 février 1766 à Lunéville à l'âge de 89 ans, des suites d'une chute dans un âtre du château. Jusqu'en 1790 une messe était dite pour le repos de son âme à chaque anniversaire de sa mort. Puis cette tradition s'éteignit.

     

    L'association des Amis de Lunéville, qui est un centre d'études et de recherche sur les collections de la Maison de Lorraine et du roi de Pologne, a repris en 2007 cette tradition.

     

    Une première messe fut célébrée cette année-là en l'église Saint-Jacques de Lunéville. Elle fut suivie d'une deuxième en 2008 qui rassembla plus de six cents personnes. Cette année, l'association décida que cette messe pourrait être dite en l'église de Bonsecours de Nancy, construite par Stanislas, où repose son corps depuis sa mort, tout comme celui de son épouse Catherine Opalinska et le coeur de celui de sa fille.

     

    Le père Bombardier, curé de cette église, avait lui aussi eu la même idée. « On célèbre bien chaque année une messe en la chapelle des Cordeliers pour les ducs de Lorraine, pourquoi pas une messe pour Stanislas le bienfaisant, à Bonsecours. De plus, célébrer cette année après la restauration terminée de Bonsecours était un signe important de respect de la mémoire de Stanislas Leszczynski. L'offre de l'association de Lunéville tombait donc bien à propos ». Pour des raisons de calendrier, cette messe a été programmée vendredi dernier, avec un décalage de trois jours. Dans la nef magnifiquement restaurée, une centaine de personnes prenaient place pour cet office. La messe était accompagnée par la Scola grégorienne d'Alsace, sous la direction de Benoît Neiss et accompagnée par l'organiste Cécile Bohlinger.

     

    Au cours de l'homélie, le prêtre rappela le parcours de « Stanislas, un homme pieux, qui priait chaque jour en s'allongeant sur le sol bras en croix jusqu'à un âge avancé », rappelant qu'il avait vécu « des moments difficiles d'errance et de révolte, mais qui fut pour la Lorraine Stanislas le bienfaisant, protégeant les arts et les lettres et instituant des droits et des protections pour les plus faibles et les miséreux ». Un membre de l'association lu la prière de Stanislas, toute confite d'amour et de respect divin.

     

    En la fin de la messe, les fidèles sont allés se recueillir sur le tombeau du roi de Pologne et dernier duc de Lorraine et de Bar.

     

    >> Association des Amis de Lunéville, 1 rue du Général-Leclerc, 54300 Lunéville

    >> Site Internet de l’association : www.maisondelorraine.org

  • Notre-Dame de Bonsecours à Nancy : messe à la mémoire de Stanislas le 21 février

    ND Bonsecours 05.06.08 008.jpgL'abbé Jacques Bombardier, prêtre de l'Oratoire Saint-Philippe-Néri et curé de Notre-Dame de Bonsecours, célébrera une messe pour le repos de l'âme du roi de Pologne et duc de Lorraine et de Bar Stanislas Leszczinski ce samedi 21 février à 18 heures en l'église Notre-Dame de Bonsecours à Nancy.

     

    Stanislas est décédé à Lunéville le 23 février 1766 au terme d'une longue agonie, après s'être brûlé accidentellement devant la cheminée de sa chambre.

     

    Rappelons que c'est Stanislas qui, en 1738, entreprit de reconstruire l'ancienne chapelle des Bourguignons et actuelle église de Bonsecours. Il conserva l'antique statue de la Vierge au Manteau de Mansuy Gauvain. Il choisit aussi de faire de cette église baroque le lieu de sa sépulture et de celle de son épouse. Le coeur de sa fille Marie, épouse du roi Louis XV, les y a rejoints.

     

    stanislas.jpg
    Stanislas Leszczinski, roi de Pologne et duc de Lorraine et de Bar
    (Musée Lorrain, Nancy)
  • 2012, année de la Renaissance à Nancy

    Après l'Année de l'Ecole de Nancy en 1999, le 250ème anniversaire de la place Stanislas, voici 2012, Année de la Renaissance qui se profile à l'horizon.

     

    palais ducal nancy.jpgLe Palais ducal sera particulièrement à l’honneur avec sa Porterie réalisée d'après le modèle de celle du Château de Blois, mais aussi la Chapelle ronde des Cordeliers, modèle réduit de celle des Médicis à Florence, des hôtels particuliers. Et surtout la Ville neuve de Charles III construite pour l'essentiel du milieu du XVIe siècle à 1630, année où la guerre de Trente Ans fait irruption en Lorraine avec son cortège de malheurs.

     

    La Renaissance à Nancy, c'est également Jacques Callot, Georges de La Tour, Ligier Richier, le château de Fléville... Bref, à Nancy, il y a de quoi commémorer et célébrer un patrimoine qui vient en troisième rang d'excellence après le XVIIIe et l'Art Nouveau.

     

    La perspective de cette année Renaissance 2012 permettra aux Nancéiens de découvrir le vaste chantier de rénovation du Palais Ducal, de mieux promouvoir l'époque de la Renaissance dans le tourisme urbain. Et pourquoi pas y inclure des parcours thématiques incluant des sites lorrains Renaissance comme le village de Châtillon-sur-Saône, dans les Vosges, qui bénéficie depuis 30 d’un travail de sauvegarde remarquable mené par des bénévoles ?

     

    [cliché ©Est Républicain]

  • Les prix des académiciens de Stanislas

    L'Académie de Stanislas remettait dimanche 25 janvier quatorze prix. Dont un prix littéraire attribué à Jérôme Thirolle pour « Les doigts d'or d'Elise ».

     

    académie stanislas.jpgDimanche 25 janvier, dans les grands salons de l'Hôtel de ville de Nancy, la cérémonie de remise des prix organisée par l’académie de Stanislas a été agrémentée d'un intermède lyrique de qualité.

     

    Jean-Louis Rivail, président de l'Académie de Stanislas, a ouvert cette cérémonie par la remise des prix de dévouement : prix Cadiot à l'association Accueil Ecoute représentée sa présidente, Michèle Gillet. Prix du professeur Louyot à Lucette Sourlier. Prix Sacicap de Lorraine à la banque alimentaire de Nancy et de sa région. Prix de la médaille de la famille française à Françoise Hutin.

     

    Les prix scientifiques de l'université Henri-Poincaré : prix informatique à Pierrick Gaudry. Prix des mathématiques à Xavier Antoine. Prix de médecine à Mathieu Brachet pour le prix du doyen, et à Delphine Valance pour le prix du professeur Paul-Louis Drouet.

     

    Les prix littéraires : prix Georges Sadler à Jérôme Thirolle, 38 ans, pour « Les doigts d'or d'Elise » (éditions L'Ecir). Premier roman sur l'amour impossible d'une ouvrière chaumontaise et d'un fils de patron. Prix Aubry et Marin à Colette Méchin pour son ouvrage « Louis Lavigne et Cumières » (éditions Trouslard).

     

    Les prix artistiques : bourse Georges Sadler mention « Beaux-Arts » à Damien Guion, et mention « conservatoire » à Wen Chen.

     

    Prix d’architecture à Cédric Jacquillard.

     

    Enfin, le grand prix de l'Académie de Stanislas revient à l'association PHARE représentée par son président, Olivier Ageron ; association qui a grandement œuvré à la restauration de l’église Notre-Dame de Bonsecours, à Nancy.

     

     

    [d’après l’Est Républicain | 26.01.09]

  • Nancy : la Porte Stanislas restaurée en 2009

    Le dernier maillon de la ville de Stanislas sera refait en 2009. La porte à son nom, après la porte Sainte-Catherine clôt un cycle. Mais il y a encore beaucoup à faire.

     

    porte stanislas nancy.jpgAprès l'effort très soutenu ces dernières années autour de Notre-Dame-de-Bonsecours, la place Stanislas, la restauration des monuments historiques fait une pause sur Nancy. En effet, les travaux qui vont être lancés au printemps ne vont pas dans un premier temps traiter l'environnement de la porte : les deux immeubles qui la flanquent ont bien mal vieilli. Ils se laissent traverser l'un par un passage pour piétons, l'autre par la rue... Le premier ayant une autre fonction qui agace beaucoup les élus, celle d'urinoire... Pour cette raison, ces passages seront esthétiquement améliorés. Mais rien ne se fera sans avoir au préalable réfléchi à l'ensemble de l'aménagement du secteur de la gare, pour lequel il vaut mieux ne pas se hâter, compte tenu des erreurs commises dans un passé récent...

     

    La porte Stanislas elle-même n'a pas été épargnée puisque ce sera son second ravalement en trente ans. Le précédent a été fait selon la mode de l'époque : sablage avec eau sous pression, ce qui a détruit la couche de calcin qui protège la surface de la pierre et sert d'interface entre les agressions de l'air extérieur et la pierre saine mais fragile en profondeur. Ce ne sont pas seulement les sculptures qui ont été gravement érodées. « Tout le bâtiment bouge », explique Pierre-Yves Caillault, architecte en chef des Monuments historiques. « Il a fallu fretter le monument, en particulier les colonnes, car le ravalement des années 70 a aggravé les désordres. » « Fretter », c'est poser des espèces d'attelles actuellement visibles sur l'édifice.

     

    porte stanislas.jpg« Le monument, à cause de la circulation intermittente est attaqué par un air saturé en permanence de gaz toxiques. Pour diminuer l'impact des gaz d'échappement, une bonne idée serait de reporter le feu tricolore en avant de la porte, pour que les véhicules soient toujours en mouvement quand ils passent dessous. » Mais pour l'heure, place aux travaux, qui débuteront au printemps, après la période des intempéries, sachant que l'étude préalable de l'ACMH est terminée. La restauration ressemblera trait pour trait à celle de la porte Sainte-Catherine et doit elle aussi faire l'objet d'une insertion ultérieure dans l'urbanisme XVIIIe environnant.

     

    Le coût de la Porte Stanislas est de 850.000 €, dont 35 % financés par l'Etat. Le chantier devrait durer au moins jusqu'à l’automne 2010.

     

     

    [d’après l’Est Républicain | 30.12.08]

  • Nancy : un concert privé pour l'inauguration de l'église de Bonsecours

    L'Académie de Stanislas a organisé récemment un concert privé dans l'église de Bonsecours pour célébrer l'achèvement de la restauration de l'édifice.

     

    michel marquez.jpgLa manifestation était organisée par l'Académie de Stanislas pour célébrer l'achèvement des travaux de restauration de l'édifice. Une restauration exemplaire qui a permis au sanctuaire de retrouver tout son faste. Après les discours d'usage, c'est dans un décor étincelant que le contre-ténor Michel Marquez, accompagné au clavecin par Jérôme Mondésert, a fait entendre des pages de Couperin et fait découvrir à l'auditoire un compositeur oublié, Louis-Maurice de Lapierre.

     

    Ce musicien versaillais, au titre officiel et peu flatteur de « musicien mineur sans brevet », a eu la bonne idée de proposer ses services au beau-père du roi Louis XV, en résidence au château de Chambord. Il fit si bien sa cour à Stanislas que celui-ci le nomma surintendant de sa musique lorsqu'il prit possession du duché de Lorraine. La bonne fortune du compositeur n'a pas suffi à lui assurer une renommée post mortem. Il faut avouer que si sa musique est plaisante, elle s'inspire beaucoup de ce qui s'écrivait à l'époque, et même un peu avant. Les deux interprètes ont su, en tout cas, exprimer tous les affects de cette musique de cour, comme de celle, plus aboutie, du grand François Couperin.

     

    Après ce récital, le professeur François Pupil, vice-président de l'association Phare (protection du patrimoine de Bonsecours), fit un rappel historique du bâtiment, de sa rapide construction - 3 ans seulement - et des longs et patients efforts qui ont conduit à sa restauration.

     

    [d’après l’Est Républicain]

     

     

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    Le choeur de l'église de Bonsecours
  • Fin de la restauration de la porte Sainte-Catherine à Nancy

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    La porte Sainte-Catherine à Nancy, située à quelques pas de la place Stanislas, retrouve ses couleurs d'origine, refaite à neuf et perd progressivement le corset d’échafaudages qu'elle a gardé presque durant une année. De quoi ouvrir sur l'espace sud Stanislas, avec la même grandeur que la place du même nom. Peu de villes en France disposent par ailleurs d'un ensemble de portes aussi homogène et complet réparties aux quatre points cardinaux.

  • La cour de Lorraine en ses meubles

     

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    Jacques Charles-Gaffiot, Danièle Véron-Denise et André Courbet ont dédicacé l'ouvrage à Lunéville.

    Patiemment et méthodiquement, Jacques Charles-Gaffiot poursuit ses recherches et ses investigations qui le mènent sur les traces du mobilier des derniers ducs de Lorraine. Son dernier ouvrage, « La Cour de Lorraine en ses meubles » a été présenté récemment à Lunéville à l'occasion de sa sortie. Un ouvrage qui, en complément des deux déjà édités, rassemble ses dernières découvertes.

    « Les travaux réalisés nous permettent de reconstituer quelques éléments de la fabuleuse collection du dernier duc de Lorraine et roi de Pologne, Stanislas. » Jacques Charles-Gaffiot saluait ainsi la collaboration établie avec Danièle Véron-Denise, André Courbet, Pierre Simonin, Dominique Brême et Tereza Bardi. Des remerciements étaient également adressés à Jean-Pierre Carciofi et Michel Bouard, deux lunévillois dont les recherches ont également collaboré à l'aboutissement de ce livre d'art.

    L'auteur, au terme d'une enquête minutieuse et collective, émet l'hypothèse que ce mobilier retrouvé (comprenant un lit, des fauteuils, des tentures) est issu d'une commande de Louis XIV en vue de cadeaux pour sa fille à l'occasion de son mariage avec le duc de Chartres (frère d'Elisabeth-Charlotte). Ce mobilier aurait pu se trouver à Lunéville lorsque leur fils, se rendant à Strasbourg, fit halte au château de Lunéville chez ses oncle et tante Léopold et Elisabeth-Charlotte de Lorraine à qui il a fait, alors, de nombreux présents.

    Un ouvrage du plus haut intérêt historique que tous les amateurs d’histoire et amoureux de la Lorraine se doivent de posséder.

    [d’après L'Est Républicain | 12.07.2008]

  • le Prix Stanislas pour la 30ème édition du Livre sur la Place à Nancy

    IL SERA REMIS A NANCY LORS DU 30ème LIVRE SUR LA PLACE LE 21 SEPTEMBRE 2008

    prix stanislas.jpgLe Prix Stanislas est spécialement créé afin de récompenser le meilleur ouvrage français des trente dernières années.

    Après plusieurs semaines de vote du public, le meilleur livre français se verra décerner le Prix Stanislas créé par la Ville de Nancy à l'occasion du 30ème Livre sur la Place qui a lieu traditionnellement en septembre, désormais sur la Place Carrière.

    De nombreux auteurs sont déjà en lice : Le Clézio, Duras, Quéffelec, Nourrissier, Modiano, Claudel, Pennac. Le Prix sera remis par l'invité d'honneur Luc Ferry, philosophe et ancien ministre de l'Education nationale. Et c'est Daniel Pennac qui présidera le Livre sur la Place 2008.

    L'organisation du Prix Stanislas repose sur une sélection conjointe de la Ville de Nancy, du magazine Lire, de l'Est Républicain et de libraires. Les partenaires disposeront des urnes dans lesquelles tout un chacun pourra glisser sa sélection.

    On pourra également voter sur Internet via le site www.lelivresurlaplace.nancy.fr

    Quelle récompense pour les gagnants ? Parmi l'ensemble des participants ayant plébiscité le livre ayant obtenu le Prix Stanislas, il sera procédé au tirage au sort de 30 gagnants. Week-ends à Nancy en TGV, rencontres avec des écrivains, pass-musées sont à gagner.

    A quoi ressemblera le fameux Prix Stanislas ? C'est encore un secret bien gardé... Peut-être le portrait royal du bon roi Stanislas ?

     

    • du 10 juillet au 10 septembre, votez pour le "Prix Stanislas" soit dans L'Est Républicain, soit sur www.lelivresurlaplace.nancy.fr, soit auprès des libraires et partenaires (SNCF, France Bleu, France 3 Lorraine)
  • Nancy : inauguration de l'église Notre-Dame de Bonsecours restaurée le week end des 28 et 29 juin 2008

    ND Bonsecours plaquette VDN.jpgLa restauration de l'église Notre-Dame de Bon-Secours est terminée. Pendant les quatre années qu'a duré la restauration de ce joyau de l’art religieux lorrain, le chantier est devenu de jour en jour plus passionnant. Maintenant, c'est une église totalement différente que l'on peut admirer.

    Notre-Dame-de-Bonsecours a été construite sur les lieux des combats de la Bataille de Nancy qui a vu la victoire du duc René II sur Charles le Téméraire et c'est en août 1738 que Stanislas Leszczynski, duc de Lorraine, pose la première pierre de la chapelle qui deviendra une église paroissiale en 1844.

    Notre-Dame-de-Bonsecours est le lieu de mémoire de la famille Leszczynski tout en étant un sanctuaire national lorrain. C'est Emmanuel Héré qui en est le maître d'œuvre, Provençal en a peint les fresques et la Vierge de Bonsecours est réalisée par le sculpteur Mansuy Gauvin.

    Simple chapelle érigée au XVe siècle, « ce joyau du patrimoine nancéien » va être transformé en église baroque par Stanislas. Il avait porté son choix sur cet édifice modeste pour y être inhumé.

    Le roi de Pologne et duc de Lorraine fait donc construire un monument original et surprenant où se croisent avec grâce les décors baroques proches de sa Pologne natale associés à la tradition française gothique, aux influences italiennes et germaniques.

    Considérée comme un chef-d'œuvre d'architecture du siècle des Lumières, l'église va connaître moult modifications, restaurations hasardeuses et ajouts successifs.

    Au fil du temps, Notre-Dame de Bonsecours va perdre de sa beauté et de son panache, mais les travaux engagés par la ville de Nancy sous la direction de l'architecte en chef des Monuments historiques Pierre-Yves Caillaut lui ont permis de retrouver tout son lustre.

    bonsecours1.jpgLes amateurs d'art et les fidèles de l’église, réunis ce week-end pour une visite guidée de l’édifice après rénovation, ont pu témoigner de cette transformation spectaculaire.

    L'église accueillait dimanche matin 29 juin la première Eucharistie célébrée par Monseigneur Jean-Louis Papin, évêque de Nancy et de Toul. Dans son homélie, Monseigneur l’évêque a retracé l'historique de cette petite chapelle érigée par René II et dédiée à la Vierge pour son Bon-Secours, jusqu'à nos jours. Une célébration solennelle accompagnée par les chants de la chorale Cantica de Felkirch.

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    Durant l'homélie de Mgr Papin
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    Vue de l'assistance durant la messe
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    Vin d'honneur sur le parvis à l'issue de la messe
    [clichés Ville de Nancy et Est Républicain]
  • Le nain "Bébé" de Stanislas retrouve le château de Lunéville

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    [Est Républicain, juin 2008]