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  • Vol de statues dans le cimetière de Louvemont (52)

    On nous signale un vol commis dans le cimetière de Louvemont (Haute-Marne, canton de Saint-Dizier).

    Deux statues en fonte qui ornaient une tombe ont été dérobées. Il s’agit d’une Vierge et de saint Nicolas (en fait un saint évêque auquel ont été ajoutés les enfants dans le saloir à ses pieds).

    Les statues proviennent de la fonderie de l’Union internationale artistique de Vaucouleurs (Meuse). La sculpture de la Vierge Marie présente un cachet certain, saint Nicolas est plus classique.

    Plainte a été déposée à la gendarmerie. Des vols similaires ont eu lieu à plusieurs endroits en Haute-Marne.

    Exercez votre vigilance notamment chez les brocanteurs, sur les vide-greniers ou sur les sites de vente Internet où ces statues peuvent être mises en vente.

    >> Contact : philippe.raulet3@orange.fr

  • Vol de statues dans le cimetière de Louvemont (52)

    On nous signale un vol commis dans le cimetière de Louvemont (Haute-Marne, canton de Saint-Dizier).

    Deux statues en fonte qui ornaient une tombe ont été dérobées. Il s’agit d’une Vierge et de saint Nicolas (en fait un saint évêque auquel ont été ajoutés les enfants dans le saloir à ses pieds).

    Les statues proviennent de la fonderie de l’Union internationale artistique de Vaucouleurs (Meuse). La sculpture de la Vierge Marie présente un cachet certain, saint Nicolas est plus classique.

    Plainte a été déposée à la gendarmerie. Des vols similaires ont eu lieu à plusieurs endroits en Haute-Marne.

    Exercez votre vigilance notamment chez les brocanteurs, sur les vide-greniers ou sur les sites de vente Internet où ces statues peuvent être mises en vente.

    >> Contact : philippe.raulet3@orange.fr

  • Des éléments de fortification du XVIIe siècle mis au jour à Nancy

    Les archéologues de l’Inrap continuent leurs sondages sur le chantier du nouveau quartier Nancy Grand-Cœur, boulevard Joffre, à proximité de la gare.

    Ils ont mis au jour tout récemment les vestiges du bastion de Saurupt, construit au XVIIe siècle sous le duc Charles III puis détruit par ordre de Louis XIV lors de l'invasion française. « Le but de ce diagnostic archéologique est d’estimer l’état de conservation ...des fortifications », explique Jude Rémy, archéologue responsable de l’opération. « Nous sommes sur un ouvrage avancé et nous cherchons l’extrémité du bastion. Pour l’instant, nous avons trouvé l’escarpe du mur côté ville, avec le soubassement. Le mur a une épaisseur de 3 ou 4 mètres et a été miné à la poudre noire ». Les diagnostics archéologiques menés depuis plusieurs semaines sur le chantier poursuivent plusieurs objectifs : repositionner l’ouvrage sur les cadastres de la ville et donner des informations aux archéologues sur la façon dont ont été construites et démolies les fortifications. « Les sondages que nous effectuons nous permettent de redessiner très précisément sur un plan les fortifications qui existaient à l’époque de Charles III », souligne Jude Rémy. « On se rend compte aujourd’hui dans le détail que les murs ne sont pas construits comme ils apparaissent sur d’anciennes gravures ».

    Prochainement, les archéologues entameront un nouveau sondage, près de la caserne des pompiers, afin d’en savoir plus sur le profil des fossés.

    [source : ER]