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thionville

  • Thionville (57) : un sarcophage en bois au musée de la Tour aux Puces

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  • Le Centre hospitalier régional Metz-Thionville héritier d'une tradition millénaire

    CHR.jpgAu moment où se tournent plusieurs pages de l'histoire hospitalière régionale avec la fermeture des hôpitaux Notre-Dame de Bon-Secours et Sainte-Croix à Metz et Beauregard à Thionville, établissements au passé pluridisciplinaire, mais aussi à l'heure où les deux villes se dotent d'outils modernes et performants avec la construction des hôpitaux de Mercy et la rénovation de Bel-Air, il est apparu opportun de retracer l'histoire des composantes du centre hospitalier régional de Metz-Thionville, héritier d'une tradition hospitalière millénaire.

    Des hospices médiévaux de Saint-Nicolas à Metz et de Sainte-Elisabeth à Thionville à l'hôpital ultramoderne de Mercy, les structures hospitalières publiques ont bien sûr évolué, mais un même esprit de solidarité et de dévouement a en permanence guidé les hospitaliers religieux et laïcs médiévaux et contemporains.

    Cet ouvrage se veut aussi travail d'actualité, en donnant la parole à une vingtaine d'acteurs de l'histoire contemporaine du CHR pris dans différentes catégories de personnels. Leurs témoignages constituent une mémoire vivante de l'institution agrémentés d'illustrations inédites.

     

    ‡ CHR Metz-Thionville, Gérard Michaux (dir.), éditions Serpenoise, 2013, 279 p., ill. (25 €).

  • 20 000 soldats sous la terre : peintures murales et graffitis des fortifications de Thionville, Metz et Strasbourg

    soldats.jpgEntre l'Annexion de 1871 et la Libération de 1944-45, des soldats tour à tour allemands et français, GI's américains ou prisonniers de guerre slaves séjournèrent sous les voûtes de pierre et de béton des groupes fortifiés ceinturant et assurant la protection de Metz, Thionville et Strasbourg.

    Au gré des accalmies, ces troglodytes en uniforme ont peint, gravé ou marqué les parois humides de ces forteresses de leur mine de plomb... C'est cette iconographie exceptionnelle qui est présentée et commentée dans cet ouvrage inédit.

    Alors que la plupart de ces oeuvres bientôt séculaires, sont aujourd'hui inaccessibles, le livre se pose en guide virtuel d'une richesse artistique militaire insoupçonnée dans les entrailles des sols lorrains et alsaciens.

    L'auteur, Michaël Séramour, est docteur en histoire. Il a soutenu une thèse sur l'expression pariétale des systèmes fortifiés contemporains lorrains et alsaciens. Il est l'auteur de plusieurs ouvrages et articles sur les fortifications de l'Est de la France.

     

    ‡ 20 000 soldats sous la terre. Peintures murales et graffitis des fortifications de Thionville, Metz et Strasbourg (1871-1945), Mickaël Séramour, éditions Serpenoise, 2012, 223 p., ill. (40 €).

  • "Poussières de craie et tableau noir. L'école d'autrefois"

    lorraine,thionville,musée de la tour aux puces,école d'autrefois,éducation nationale,instruction publique,jules ferry,ancien régime,congrégations religieuses,église catholiqueLe Musée de la Tour aux Puces de Thionville accueille jusqu'en septembre 2011 une intéressante exposition sur l'école d'autrefois intitulée "Poussières de craie et tableau noir".

    Le catalogue édité pour l'occasion est bien plus qu'un simple inventaire d'exposition. Point de nostalgie dans le propos. De la pédagogie avant tout afin que les générations actuelles sachent que l'instruction publique puis l'éducation nationale ne datent pas des multiples réformes - souvent contradictoires - subies depuis 1968.

    L'instruction était dispensée en Lorraine bien avant 1789. Certes, si l'école que nos "chères têtes blondes" fréquentent aujourd'hui doit beaucoup au vosgien Jules Ferry et à la IIIe République, la transmission des connaissances est un phénomène universel.

    Outre le quotidien à l'école qui est balayé à travers les matières enseignées, le mobilier et le matériel scolaire ou la vie à l'école, un large développement est consacré au particularisme de l'école en Moselle. Par ailleurs, l'histoire de l'enseignement à Thionville est étudiée, grâce à l'exploitation des archives municipale, depuis le XVIIe siècle jusqu'à la Libération de 1945. Une biographie des instituteurs et institutrices complète utilement l'ouvrage, ce qui en fait une véritable monographie sur l'école à Thionville. De nombreuses illustrations accompagnent le catalogue qui est édité par la Ville de Thionville.

     

    ‡ Poussières de craie et tableau noir, l'école d'autrefois, Isabelle Reyter, catalogue de l'exposition présentée au Musée de la Tour aux Puces, Thionville, avril-septembre 2011, 96 p., ill.