Alain Barrot, haut-saônois et ancien étudiant à Nancy, a écrit deux ouvrages sur le sujet.
Professeur agrégé de dessin industriel, Alain Barrot a débuté la collection de boîtes de bergamotes, il y a 35 ans, lorsque son épouse lui en a offert une, rejointe par celle venant de ses parents. Aujourd'hui, il en possède 700 et en a répertorié 1000 dans un livre préfacé par le chocolatier nancéien Alain Batt.
Il a aussi écrit un autre ouvrage sur le même sujet en 2008 publié aux Editions Gens de Lorraine. On y apprend notamment que « bergamote », venant de l'italien bergamotto, s'écrivait avec 2 « t » jusque dans les années 1880. Entre 1880 et 1910, les dictionnaires admettent les deux orthographes pour ne plus accepter qu'un seul « t », après 1910. La maison Lefèvre de Nancy a cependant déposé la marque du bonbon avec 2 « t ».
Avec une ou deux consonnes, le fruit a le même parfum qui séduit autant le collectionneur que les boîtes en métal ou en carton !
[d’après l’Est Républicain | 23.11.09]