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Pour l'honneur de Blanche

blanche.jpgQuitter Nancy, la ville qui fut celle de tous ses bonheurs. A la mort de son époux, dépouillée de sa villa, de sa fortune et de son rang, Blanche se réfugie avec sa fille et ses pinceaux d'artiste à Paris.

Après une longue descente aux enfers, elle revient en Lorraine où elle doit travailler pour la première fois de sa vie. En 1894, elle accepte de travailler comme artiste-décoratrice au sein de la prestigieuse fabrique de papier mâché Adt - la "Tata" - de Pont-à-Mousson, qui produit des objets d'ornementation raffinés, exportés jusque dans les maisons royales européennes.

Elle s'intègre vite au monde des ouvriers en laque et se voit peu à peu confier des missions importantes, notamment la commande d'une richissime famille de Saint-Pétersbourg.

Son retour en Lorraine n'entame en rien son désir de revanche sur la vie et sur ceux qui ont causé sa ruine et son déshonneur. Grâce à son art, à l'amitié d'ouvriers de la fabrique et à un voyage inespéré en Russie, Blanche reprend goût à la vie et lui donne un nouveau sens.

Le roman s'appuie sur les meilleures sources historiques issues des recherches de Pierre Lallemand, l'historien de Pont-à-Mousson, ainsi que dans le fonds des archives départementales de Meurthe-et-Moselle et celui des archives municipales de Nancy.

 

‡ Pour l'honneur de Blanche, Frédérique Volot, éditions Presses de la Cité, 2012, 348 p. (20,50 €).

Commentaires

  • bonjour madame Volot
    j'ai bien aimé POUR L HONNEUR DE BLANCHE et je découvre dans le livre qu'elle peint. Je débute dans la peinture. Et chose étonnante, l'histoire se passe en autre a PONT-A-MOUSSON, ce qui me bouleverse un peu car mon père a été fait prisonnier non loin de là, pendant la guerre de 39-45.
    je m'imagine qu'il a peut-etre marché sur une meme route que blanche!
    je vous félicite pour vos livres que je découvre chaque fois avec un énorme plaisir.

  • Bonsoir Josiane,
    Merci beaucoup pour votre message qui me va droit au coeur. Votre satisfaction est ma plus belle récompense. J'ai pris grand plaisir à écrire ce livre. il se passe à PAM, une ville que j'aime, sans doute en raison de sa riche histoire. Et puis, cela m'a permis de voir souvent Pierre Lallemand, l'historien de Pont, fondateur du musée du papier mâché à Pont que je vous recommande vivement. Hélas, cet homme que j'affectionnais beaucoup pour sa simplicité, son accueil, son bel humour, est mort en septembre dernier. Je suis heureuse d'avoir pu lui dédier ce livre de son vivant. Car, à mon avis, on devrait toujours rendre hommage aux gens de leur vivant et ne pas attendre qu'ils soient morts. Ca ne rime à rien !
    Et oui, Blanche peint, ce que je ne fais pas. Hélas ! Mais, savez-vous que portez le nom d'un beau peintre lorrain : Léon Husson ? J'aime beaucoup sa peinture, vive, toujours en mouvement. Je pense que vous pourrez voir quelques-unes de ses toiles sur Internet. En tous cas, bonne continuation !
    Et merci encore pour vos encouragements.
    Bien cordialement,
    Frédérique Volot

  • Bonjour Madame,
    j'ai découvert votre livre dans une librairie.
    Ce qui m'a attiré au premier abord c'est cette photo du coffret en 'carton pâte' me rappelant nos origines d'un village proche de Pont à Mousson.
    Aprés en avoir démarré la lecture je n'ai eu de cesse que de le finir d'une traite. J'ai trés apprécié et surtout les références historiques de la 'Tata'.
    J'ai eu moi-même la chance d'avoir Pierre Lallemand comme professeur au Lycée de Pont à Mousson du temps de Monsieur Strohman comme proviseur et j'en ai gardé un bon souvenir et trés apprécié ses livres sur la ville qu'il m'a dédicacé.
    Merci beaucoup pour l'écriture de votre roman
    cordialement

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