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Le rucher du père Voirnot

lorraine,villers sous prény,abbé voirnot,abeilles,frédérique volotQuand, en 1871, Jean-Baptiste Voirnot, jeune prêtre, s'installe au presbytère de Villers-sous-Prény, modeste paroisse près de Pont-à-Mousson, il se prend de passion pour son jardin, pour les arbres fruitiers, la vigne, mais plus encore pour les abeilles. Au point d'en oublier la haine que lui réservent certains de ses paroissiens. Pendant que ces derniers se déchirent entre "calotins" et "rouges", lui se réfugie dans l'étude méticuleuse d'un modèle de ruche révolutionnaire qui porte, encore aujourd'hui, son nom. Notre curé va inventer la ruche "cubique" qui connaît un énorme succès.

Mais la fin de sa vie est assombrie par de graves problèmes de santé en grande partie provoqués par la lutte qui oppose partisans de l'Eglise catholique et anticléricaux haineux. En 1899, son traitement de prêtre est supprimé. L'abbé Voirnot décédera à l'hospice de Ludres en 1900, âgé de 56 ans.

Roman solaire d'une vie consacrée à Dieu, mais surtout à ses abeilles, et chronique savoureuse d'un village lorrain, Le rucher du père Voirnot est une invitation à entrer dans le monde des passions.

Frédérique Volot, originaire de Vittel, a publié plusieurs ouvrages sur les affaires criminelles et les mystères de Meurthe-et-Moselle.

 

‡ Le rucher du père Voirnot, Frédérique Volot, éditions Presses de la Cité, 2011, 324 p. (19 €).

Commentaires

  • looks like a nice book.

  • Chère madame.

    C'est avec stupeur que je viens de feuilleter votre livre! si ce n'est pas du plagiat comment cela s'appelle-t-il? dans vos références vous estropiez mon nom et vous vous trompez dans mon prénom. J'ai mis deux ans et le premier à écrire et chercher des indices historiques sur cette personnalité qu'est l'abbé VOIRNOT et non le père VOIRNOT (qui fait un peu trivial) comme vous l'écrivez. Il était facile de reprendre mes textes et mes sources. Êtes-vous vous même apicultrice? Je ne le crois pas !car il y a beaucoup d'erreurs.Je pense qu'une visite de courtoisie aurait aplani nos rapports, mes coordonnées étant dans la 2° édition.
    Madame je ne crois pas que j'achèterai votre livre et je ne le rangerai pas dans ma collection de 700 livres sur l'apiculture avec plusieurs écrits par l'abbé dont un annoté par lui-même.
    Malgré ma rancœur je vous salue.
    Daniel LEJEAILLE

  • et bien voilà qui est dit !
    j'espère que l'auteur de cet ouvrage lira votre commentaire. cela dit, il s'agit d'un roman et non pas, apparemment, d'une biographie au sens où on l'entend habituellement en littérature. l'auteur peut donc se permettre quelques "fantaisies"... mais sûrement pas celle d'"estropier" les coordonnées des références et auteurs auxquels elle a eu recours pour rédiger son roman.
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    l'animateur du blog

  • Cher Monsieur,
    Je viens de lire votre commentaire sur mon livre. Tout d'abord, je vous présente toutes mes excuses quant à l'orthographe de vos nom et prénom. Il y a eu visiblement une erreur lors de la mise en page. Je vais en référer à la maison d'édition afin qu'en cas d'une nouvelle édition, cette erreur soit corrigée. Pour écrire ce livre, j'ai eu recours à une importante documentation du 19ème siècle, et à des informations glanées sur le terrain.
    Quant à l'abbé Voirnot, je me suis inspirée d'éléments de sa vie que j'ai réinsérés dans une histoire,corps de mon roman, dans le contexte tourmenté de la fin du 19ème siècle avec la lutte anticléricale orchestrée notamment par Jules Ferry. J'ai voulu restituer l'ambiance de vie de l'époque dans notre campagne lorraine, et honorer la mémoire d'un homme généreux et visionnaire. Les personnages autour de l'abbé sont fictifs. Il s'agit d'un roman et nullement d'une biographie ou d'un livre sur l'apiculture. N'étant pas apicultrice, j'ai simplement voulu mettre en avant le nécessaire respect dû aux abeilles en ces temps où elles disparaissent en grand nombre, victimes des activités humaines. En cela, je crois que nous nous rejoignons.
    Respectueuses salutations, Frédérique Volot

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