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  • Les Amis du peintre Alfred Renaudin sur ses pas à Metz

    La traditionnelle sortie annuelle « Sur les traces d’Alfred Renaudin » a conduit une dizaine de participants de l'association des Amis d'Alfred Renaudin à Metz pour une visite guidée pédestre à la découverte des sites incontournables de la ville lumière.

    La cathédrale Saint Etienne, l’un des plus grands édifices gothiques d’Europe, regorge de nombreux vitraux qui lui valent bien son surnom de lanterne du bon Dieu. L’itinéraire s’est poursuivi par le marché couvert, la place de Chambre, puis par le quartier des « Isles » avec la place de la Comédie, où se trouvent l’Opéra-Théâtre et le temple Neuf, construit pendant l’annexion allemande.

    En longeant les bords de la Moselle, les Amis d’Alfred Renaudin ont découvert le quartier Citadelle et ses nombreux monuments évocateurs de l’histoire messine comme le palais de Justice, l’Arsenal militaire, le palais du Gouverneur, Saint Pierre aux Nonnains, la chapelle des Templiers et le magasin aux vivres. Après un repas convivial en extérieur, l’après-midi a été consacré au quartier Outre-Seille avec les églises médiévales, les hôtels particuliers de la Renaissance, les vestiges du rempart érigé au temps de la République messine et les vitraux de Jean Cocteau. Ce faubourg a conservé une âme très particulière et sa vocation artisanale séculaire. La Porte des Allemands est un rare spécimen préservé de ce type d’architecture militaire en France. Il s’agit à la fois d’une porte-pont, enjambant la Seille, et d’un véritable château-fort. 

    Alfred Renaudin a représenté plusieurs vues de Metz comme celles de la cathédrale, du temple neuf ou encore de la porte des Allemands.

    [texte et cliché Olivier Béna]

  • Les plaques de cocher méritent bien une seconde vie...

    Ce sera bientôt le temps des vacances... Et même à l'époque du GPS, les panneaux indicateurs sont toujours les bienvenus afin de ne pas se perdre dans la campagne !

    Au gré de vos périples, vous verrez peut-être encore ces vieilles plaques de cocher - ancêtres plus que centenaires de nos modernes panneaux indicateurs - ici ou là, accrochés aux façades de maisons...

    Un article paru dans le numéro de juin-juillet 2017 de La Nouvelle revue lorraine fait le point sur l'histoire de ces plaques directionnelles en fonte peinte - avec de nombreux exemples photographiés en Lorraine -, malheureusement bien souvent oubliés de nos jours par les communes... Un petit coup de pinceau ne coûterait pas cher et redonnerait vie à de beaux objets, témoins d'un savoir-faire de la métallurgie du XIXe siècle.